La Médina de Mahdia

La médina de Mahdia est une des plus intéressantes de la Tunisie. Pleine de charme, elle renferme de nombreux trésors cachés qu’on ne découvre qu’en prenant le temps de flâner…

Informations

C82, Mahdia Tunis

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détails

Sa structure est organisée en deux périphéries est-ouest : une qui commence par l'impostante porte Skifa el Kahla, seul vestige de la double muraille de la ville. Ce porche vouté et sombre, tel que son nom l'ndique, abrite le pittoresque marché des habits traditionnels, tenu par des femmes. Passant par la porte on entre dans le souk qui ont regroupés dans les deux rues parallèles qui vont de la Skifa à la Grande Mosquée. Hormis les boutiques touristiques, vous découvrirez toute la richesse de l’artisanat de Mahdia à travers les très nombreux bijoutiers et ateliers de tissage : bijoux d’or, d’argent et d’ambre ; tissus de coton, en soie et fils d’or, aux couleurs vives et variées.
La rue principale longe la petite place du Caire, pleine de charme avec son vieux café à arcades et ses joueurs de dominos en chéchia et burnous. Une très jolie place dominée par la mosquée Mustapha Hamza, sculptée au 18ème siècle, que les habitués ne remarquent même plus.
 
Un peu plus loin, vous atteignez l’esplanade où se trouve la Grande Mosquée. L’édifice actuel est une copie réalisée dans les années 1960 d’après le plan de la mosquée fatimide de 916, celle-ci ayant été détruite par les Espagnols en 1554. Cette mosquée, dépourvue de minaret, ne se visite pas.
 
Au-delà des souks, la seconde partie de la médina est plus particulièrement réservée aux habitations. Perdez-vous dans le dédale intime de ses ruelles et impasses. Vous y découvrirez – entre autres – de superbes maisons, de très belles portes et des sourires d’enfants…
L'autre espace dédié aux habitations atteint l'ouest de la Skifa jusqu'aux limites du cimetière marin qui termine majestueusement la presqu’île, c’est un cimetière… vivant ! Une route le traverse, des moutons y paissent, les femmes s’y recueillent, les enfants viennent plonger dans la mer qui le borde.
 
En contrebas, creusé dans la roche, le vieux port fatimide abrite encore quelques barques de pêcheurs, aux jolies couleurs. On y entrait autrefois par une arche faite dans le mur, encore visible : Bab el Bahr, la porte de la mer.
 
Sur ses hauteurs, le borj El Kebir, une imposante forteresse édifiée par les Turcs au 16ème siècle. Du haut de ses remparts, vous dominez d’un côté la ville et la campagne environnante, de l’autre le cimetière et la mer.
 
Rejoignez la Grande Mosquée par la route de la corniche, épousant la côte rocheuse. Très belles demeures face à la mer, certaines les pieds dans l’eau. Superbe !Sa structure est organisée en deux périphéries est-ouest : une qui commence par l'impostante porte Skifa el Kahla, seul vestige de la double muraille de la ville. Ce porche vouté et sombre, tel que son nom l'ndique, abrite le pittoresque marché des habits traditionnels, tenu par des femmes. Passant par la porte on entre dans le souk qui ont regroupés dans les deux rues parallèles qui vont de la Skifa à la Grande Mosquée. Hormis les boutiques touristiques, vous découvrirez toute la richesse de l’artisanat de Mahdia à travers les très nombreux bijoutiers et ateliers de tissage : bijoux d’or, d’argent et d’ambre ; tissus de coton, en soie et fils d’or, aux couleurs vives et variées.
La rue principale longe la petite place du Caire, pleine de charme avec son vieux café à arcades et ses joueurs de dominos en chéchia et burnous. Une très jolie place dominée par la mosquée Mustapha Hamza, sculptée au 18ème siècle, que les habitués ne remarquent même plus.
 
Un peu plus loin, vous atteignez l’esplanade où se trouve la Grande Mosquée. L’édifice actuel est une copie réalisée dans les années 1960 d’après le plan de la mosquée fatimide de 916, celle-ci ayant été détruite par les Espagnols en 1554. Cette mosquée, dépourvue de minaret, ne se visite pas.
 
Au-delà des souks, la seconde partie de la médina est plus particulièrement réservée aux habitations. Perdez-vous dans le dédale intime de ses ruelles et impasses. Vous y découvrirez – entre autres – de superbes maisons, de très belles portes et des sourires d’enfants…
L'autre espace dédié aux habitations atteint l'ouest de la Skifa jusqu'aux limites du cimetière marin qui termine majestueusement la presqu’île, c’est un cimetière… vivant ! Une route le traverse, des moutons y paissent, les femmes s’y recueillent, les enfants viennent plonger dans la mer qui le borde.
 
En contrebas, creusé dans la roche, le vieux port fatimide abrite encore quelques barques de pêcheurs, aux jolies couleurs. On y entrait autrefois par une arche faite dans le mur, encore visible : Bab el Bahr, la porte de la mer.
 
Sur ses hauteurs, le borj El Kebir, une imposante forteresse édifiée par les Turcs au 16ème siècle. Du haut de ses remparts, vous dominez d’un côté la ville et la campagne environnante, de l’autre le cimetière et la mer.
 
Rejoignez la Grande Mosquée par la route de la corniche, épousant la côte rocheuse. Très belles demeures face à la mer, certaines les pieds dans l’eau. Superbe !